Nong Khiaw
On sort de l’agitation grouillante de la ville (enfin cela reste tout relatif au Laos), pour nous rendre dans quelques villes plus calmes du nord-est, tout en nous rapprochant de la frontière vietnamienne. Comme toujours, nous privilégions la continuité du trajet pour des questions de coût et de logistique.
Nong Khiaw est la première des trois petites villes traversées. Ce n’est pas très grand, et il n’y a pas beaucoup de choses à faire, mis à part accéder à des points de vue surplombant la rivière, facturés 2 ou 3$. Au Laos tout est payant, même les sites naturels. Payer 3$ pour avoir l’autorisation d’escalader la montagne, c’est un peu énervant, et qui plus est il est déjà 15h, pas sûr que nous ayons le temps avant la tombée de la nuit.
Nous partirons plutôt en randonnée demain matin avec le casse-croûte. A cette occasion, Kévin et Christelle nous accompagnent, ils sont arrivés à Nong Khiaw la veille.
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- En arrivant sur Nong Khiaw le premier jour, nous avons dû faire un détour, la route était occupée par… un mariage !
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- Dès le début de la balade, on peut observer des papillons de toutes les couleurs.
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- Après un peu plus de 3h de marche, nous atteignons un village un peu désert : les habitants doivent sûrement être au travail dans les champs, nous en voyons quelques-uns au loin. Le contact avec les laotiens fût un peu limité.
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- Nous pique-niquons au bord d’un barrage hydro-électrique.
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- Vue du barrage : des turbines reliées au village par un fil, même pas besoin d’ERDF !
Après 7h de marche sous une chaleur non négligeable, il est temps de prendre une petite collation : un coca ! Nous mangerons le soir au resto indien de la ville, afin d’éviter de manger une noodle soup, et pour nous rappeler de bons souvenirs.
A Niong Khiaw règne une petite atmosphère de coin perdu au Laos, qui n’est en réalité que le point de passage d’un coin encore plus perdu, à 1h de bateau d’ici. Teaser…
Génial le barrage hydro-eclectique !